lundi 26 décembre 2011

Un joli Noël....



Mon premier Noël "sans", ce que m'a dit ma grande soeur, eue au téléphone 2 jours avant (elle habite très loin..). La famille réunie, autour d'un buffet garni de bonnes choses, des présents bien choisis, un moment de guitare offert par Djeune n°3....

M.Mari et les enfants attentifs à moi... Soeurette aussi...qui me complimente... cela fait du bien !










Car souvent je me sens à part par rapport aux autres..et c'est un sujet que les autres n'aborde pas avec moi, mes amis, copains savent, ne me proposent pas d'alcool, mais personne n'ose en parler, me demander comment cela se passe... Peut être cela vient il de moi ? Avec mon habitude de ne jamais rien livrer de moi...

4 commentaires:

  1. Plus je lis ton blo, plus je crois que j'aurai plein de commentaires à écrire... Il est tard mais je prendrai le temps. Promis !

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  2. Sujet difficile à aborder pour les autres Manou.. Un passage éclair, je n'écris plus sur aucun blog... Des bisous de Sympho2

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  3. Nous on a pris le parti d'en parler, sans honte. C'est une maladie. Mon fils boit, je mange. Chacun son addiction, sa béquille... La vie est dure pour tout le monde et il n'y a pas de honte à avouer ses faiblesses... Donc au cours du repas on a évoqué ça tranquillement avec mon fils, même si j'avais acheté 12 litres d'eau gazeuse plutôt que de l'alcool... Maintenant, c'est vrai que l'aborder avec qq'un de moins proche que lui m'est difficile. Il y a au boulot une collègue très très alcoolisée et je n'ose pas aborder le problème avec elle. Je ne veux pas qu'elle pense que je la juge ni qu'elle se vexe !

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  4. Bravo, je suis tellement heureuse pour toi ! Et tu peux être fière ! Quelle beau combat tu mènes et comme tu dois être fière de toi et ta famille aussi !
    J'imagine que le fait de pouvoir en parler est un pas supplémentaire et peut-être que c'est possible à partir du moment où tu es en train de te libérer.
    Il y a beaucoup de problèmes d'alcool dans ma famille, mon père était alcoolique et mes frères aussi, mais c'était un sujet tabou et aucun d'eux n'a jamais admis l'être ou l'avoir été. J'ai été la seule qui n'ai jamais voulu jouer le jeu du "mensonge" et à défaut de pouvoir vraiment les aider, au moins ne pas faire comme si je ne connaissais pas leur maladie. Aujourd'hui je ne sais pas où ils en sont, malgré nos différents, j'espère qu'ils ont su, tout comme toi, faire ce travail de l'esprit puis du corps.
    Tous mes voeux chère Manou.

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