lundi 28 septembre 2015

Dimanche presque d'été !

Déjeuner familiale dimanche avec soeurette (pour ses 50 ans !), frère, femme et cousins, mère et nos 3 djeunes tout ça autour de lasagnes délicieuses faites par M.Mari, dans le jardin au soleil pour fêter ( ???!!!) aussi le prochain départ de fillettte !!!!

Ce fut une belle journée, Djeune n°3 nous rejoignant après son 1er match de la saison, avec l’équipe B de la ville, match brillamment gagné et donc un Djeune rayonnant !!!

Comme d’habitude lors de ces réunions familiales « je m’absente » en pensée et par moment je les regarde vivre, rire, discuter... Je les observe sans être vraiment là… Difficile à expliquer ce sentiment…

Mais j’aime la complicité qui unit mes enfants, les voir se préparer à sortir ensemble après la journée déjà passer ensemble…. Ils s’aiment…
Je les aiment…

Les trous dans le mur de la chambre de Djeune n°3 sont rebouchés mais le ballon défunt est toujours là !!!

3 commentaires:

  1. Moi je ne comprends pas cette fixation sur le ballon. S'il dérange, enlevez-le! Pourquoi pas? C'est ça aussi le début de la prise en charge de soi-même.
    Je ne vous connais pas mais vous apprécie car vous me semblez tellement sincère. Vous semblez tellement lucide et forte. Aimante gratuitement.
    Je ne comprends donc pas pourquoi vous semblez presque rassurée que ce ballon soit encore là. Il y a plein de gens qui n'aiment pas les finitions parce que ce n'est pas vital. Avoir de l'eau chaude c'est important et rapidement le chauffeau fut réparé. Maintenant lui n'est pas gêné par ce ballon, vous oui. Qui doit le débarrasser ? Je ne Voudrais paraître brutale mais cette remarque concernant le ballon me semblait mesquine et surtout enlaidissant des choses bien plus importantes telles que les relations entre vos enfants.
    Je vous embrasse.

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  2. L'important c'est de se forcer au dialogue, malgré la lassitude des couples vieillissants (25 ans pour moi cette année) et les phobies de chacun, un ballon pour vous, la porte du placard qui ne ferme pas pour moi . et alors ? j'ai focalisé sur cette porte pendant 5 ans sans jamais lui dire jusqu'à m'en rendre malade.Un jour j'ai décidé de la mettre aux encombrants,il m'a dit : "c'est génial, je ne pouvais plus la voir" (sic) .le lendemain il a acheté une super armoire avec plein de tiroirs pour mes culottes et mes collants avec une penderie pour mes manteaux! moralité: j'ai "psychoté" pendant 5 ans sur cette porte, alors qu'il attendait que je lui dise de la jeter.
    Ainsi sont faits les hommes ! (René Fallet)

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  3. Tiens cela m'arrive aussi cette sensation d'être présent sans y être, Lorsque mes enfants et les gendres discutent entre eux de questions qui ne m'intéressent que de loin, l'univers de cette génération qui n'est pas la mienne.
    Mais je me réjouis alors de voir la bonne entente globale.
    C'est peut-être ça le plus essentiel…

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